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aventure & influence

Ce qui m’a toute suite intéressé dans la personnalité d’Eric Hebting c’est son côté aventurier..Le site français de l’influence n’est pas seulement  un site qui met en avant des marques de mode et de cosmétiques, c’est aussi un univers intimiste où l’originalité et l’authenticité n’a pas de limite..J’ai choisi de faire cette interview pour vous montrer jusqu’où la liberté peut aller en terme d’idée..L’influence ne se résume pas qu’à un nombre d’abonnés sur un compte de réseaux social, à mes yeux l’influence c’est aussi celle qu’on sait exercer sur soi même et sa communauté,et oui il ne suffit pas d’être une star de l’influence pour avoir sa place ici..Et vous l’aurez compris, je choisi mes collaborations en fonction, de critères comme l’influence qu’on exerce aussi sur soi, et dans sa proche communauté..C’est même dans la micro-influence que les pleins pouvoirs s’exercent aussi et aujourd’hui tout le monde est ou peut être influenceur..Le site français de l’influence est un mélange d’idées, de nouveautés et d’innovations, et il met en avant des personnes lambda, mais qui ont ce petit quelque chose, ce je ne sais quoi dont on veut faire parler.. Et à l’heure d’aujourd’hui, ce ne sont pas les coupures de Presse qui pèsent le plus, mais c’est la personnalité….

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Peux-tu te présenter aux lecteurs ?
Bien-sûr. Je m’appelle Eric Hebting, j’ai 41 ans et je suis
entrepreneur dans le secteur du bien-être, autrement dit, du
développement personnel, du sport, et de la nutrition, et
aussi aventurier indépendant.
En effet, j’adore voyager, partir à l’aventure, et j’ambitionne
de visiter autant de pays, et découvrir autant de cultures que
possible durant le reste de ma vie.
Timide et réservé la plupart du temps par le passé, je me suis forgé, au cours de mes expériences
de vie, un caractère bien trempé. En d’autres termes, je suis en train de devenir cette personne
authentique et entière que je savais être au fond de moi. Parce que j’ai appris à m’accepter et à
me respecter, je n’exige en face, rien de moins que la même chose.
Certes, ce n’est pas encore parfait, mais j’évolue vers la meilleure version de moi-même, en aidant
et en inspirant, celles et ceux qui partagent cet objectif..

Parle-nous de ton parcours d’aventurier et de voyage ?
Connais-tu cet adage qui dit qu’une aventure commence toujours par un premier pas ? Et bien ce
premier pas était en 1999, lors d’une excursion en bateau au large des Calanques de Marseille. En
fait, figure-toi que j’étais sur place pour un congrès d’experts-comptables avec d’autres étudiants
dans cette branche. Je pensais en faire mon métier.
Seulement voilà, tu ne peux jamais prévoir ce qui arrive dans la vie. Et j’allais en faire l’expérience.
Effectivement, pendant cette mini-croisière, un professeur, constatant ma bobine méga-réjouie,
m’a dit à peu près ces mots : « Ah oui, mais vous, vous n’êtes pas fait pour être comptable, mais
acteur, ou aventurier ».
Et donc du coup, cette pensée a commencé à germer petit à petit dans mon esprit. Puis, en 2004,
je découvre ce qui deviendra plus tard mon activité principale, à savoir le marketing relationnel.
Presque immédiatement, je saisi le potentiel de succès, me mets en action, et, après quelques mois, commence à gagner un peu d’argent dont je me sers pour voyager un peu partout en France pour rencontrer des amis de jeu vidéo (d’aventure évidemment) et passer d’agréable moment autour de notre passion commune

Oh bien-entendu, rien de très palpitant au début, mais comme dit l’adage, rien n’est irréalisable
pour celui ou celle qui avance continuellement, un pas à la fois.
Par conséquent, cela m’a motivé davantage et m’a donné envie d’aller encore plus loin. Du coup,
quelques années plus tard, en 2009, en plus de mon petit boulot de l’époque, je gagnais un assez
confortable complément de revenu me permettant de voyager encore plus souvent.
De plus, fin 2012, j’apprenais qu’une convention internationale allait avoir lieu … en Floride ! Et
donc, c’est à ce moment là que je me suis rendu, pour la première fois, aux États-Unis, découvert
une nouvelle culture qui m’étais totalement inconnue, et ouvert une autre dimension dans mon
aventure personnelle.
Depuis, j’y suis retourné 5 fois, j’ai visité la plupart des régions de France, été aussi 5 fois à
Londres qui est une ville que j’adore, et flâné dans les rues de Bruxelles. Et à chaque fois j’ai
ressenti cette passion de découvrir, autrement dit, le fameux frisson de l’aventure.

Après, le clou de mon aventure, le voyage de ma vie, est incontestablement ce voyage de 6 mois
entrepris à l’autre bout du monde. Cela a été un chamboulement total concernant mes certitudes
culturelles, pour le meilleur.
Durant ces 6 mois, du 11 décembre 2015 au 15 juin 2016, j’ai pu graver en moi des souvenirs et
des images à vie, tant cette aventure m’a inspiré.
Tout d’abord, j’ai passé une semaine à Tokyo, en découvrant l’hospitalité et la vie, à la fois
traditionnelle et trépidante des japonais. Cette ville m’a surpris, par ses contrastes entre palais et
temples séculaires, voir millénaires, et bâtiments modernes dont l’intérieur était parfois aussi grand
que mon village, mais également entre ces parcs de la taille d’une forêt, et le côté très urbain de
cette mégapole.

Puis, j’ai eu l’occasion d’explorer pendant 3 mois le merveilleux pays du long nuage blanc, alias
Aotearoa en Maori. Autrement dit ? La Nouvelle Zélande m’a livré ses paysages fantastiques et
ses secrets.
Concrètement, j’ai débuté par un road trip de 40 jours avec une amie où nous avons découvert
ensemble l’île du sud, en commençant, après mon atterrissage à Christchurch, par visiter l’excolonie
Française d’Akaroa.
Puis, pour résumer, nous avons souvent randonné dans des paysages magnifiques, parfois en
pleine chaleur, à d’autres moments dans l’humidité et le froid, tant en montagne ou en plaine, avec
vue sur glacier depuis nos tentes de camping.

Ah il y a aussi eu les traversées parfois mouvementées en bateau (et ma crise de panique sur le
Ferry de Bluff vers Stewart Island). Et enfin, nous avons également fait de belles rencontres, en
ville comme en pleine nature, et, là encore, l’aventure était de tous les instants.
Tiens, tant que j’y pense, voici une autre anecdote notable. En effet, nous avons aussi tenté de
faire le tour du Lac Tekapo en vélo, pensant pouvoir le faire en une journée, sans succès, car ce
dernier est tellement immense. Du coup, nous avons du faire appel à la police locale pour nous
ramener à l’auberge de jeunesse.
Et puis, j’ai fait le reste du périple en solo, sur l’île du nord, en suivant les recommandations de
mon amie sur les meilleurs spots à visiter. Entre autres moments marquants, j’ai pu faire plus
ample connaissance avec d’authentiques Maoris lors d’un repas, et découvrir leurs traditions et
leur culture, y compris le fameux Haka.
Par ailleurs il s’agit d’un chant sacré pour eux et ils n’apprécient pas trop les reprises un peu
« commerciales » en Europe. Voilà pourquoi j’ai également appris comment la « civilisation » les
avait colonisé puis spolié avec notamment l’affaire de la double traduction du traité de Waitangi.
Ce n’est qu’après un combat juridique de plus de 150 ans que la Reine d’Angleterre leur a fait des
excuses publiques, et que leurs droits ont commencé à être conformes à la version du Traité en
langage Maori. Belle illustration de persévérance.

Ensuite, j’ai eu le plaisir de découvrir une grande partie des lieux de tournage des trilogies du
Seigneurs des Anneaux et du Hobbit. C’était une belle expérience très immersive, en particulier
lorsque j’ai visité Hobbiton (Matamata), et dégusté une Black Beer, ainsi qu’un cookie, dans la
Taverne du Dragon Vert.
D’autant plus que j’ai également pu parcourir une partie du Mordor, sans toutefois avoir un anneau
à jeter dans la montagne du destin. En effet, la randonnée de 21 km, Tongariro Alpine Crossing,
couvre une partie du parcours de Frodon et Sam dans le film.
J’ai aussi visité des petites villes au passé minier, une grotte dont le plafond ressemble à un ciel
étoilé, et un parc volcanique rappelant comment était notre planète terre à ses tout débuts, ce qui,
à l’échelle de l’univers, n’est pas si lointain que ça.

Et enfin, pour cette partie, j’ai pu découvrir, entre autres endroits magnifiques, la Baie des Iles, où
je compte bien m’installer d’ici 5 à 10 ans, sans toutefois m’arrêter de voyager.
Et pour la troisième partie de cette aventure, j’ai pérégriné en Australie pendant quasiment 3 mois
aussi. J’y ai découvert des richesses à préserver absolument, comme la forêt pluviale, et ses
espèces endémiques, ainsi que la Grande Barrière de Corail, mais aussi les Aborigènes et leur Art,

plus vielle civilisation vivante actuellement (40 000 à 60 000 ans), que, là encore, notre soi-disant
« civilisation » a bien spolié …
Concrètement, j’ai parcouru toute la côte est Australienne, en profitant d’abord de Cairns, des
rencontres sur place, et aussi de son lagon artificiel, car se baigner dans l’océan signifie faire des
rencontres mortelles (requins, crocodiles d’estuaire pouvant mesurer jusqu’à 7 mètre et peser pas
loin d’une tonne, mais surtout, méduses dont les tentacules ridiculement long peuvent injecter une
toxine fatale).
Puis, j’ai pris un ensemble d’excursions, car en Australie, selon nos guides, en plus des animaux
sauvages et des araignées, 94 % des plantes veulent notre mort, donc voilà pourquoi il vaut mieux
être accompagné par des autochtones qui connaissent le terrain.
Cela m’a amené à remonter d’abord au nord, et donc, à passer par Cape Tribulation, magnifique
endroit où j’avais l’impression d’être seul au monde sur la plage. Pourtant, certaines personnes ont
ouvert un hôtel un peu spécial, car il est constitué de cabanes ne payant pas de mine de
l’extérieur, mais ayant l’apparence et le confort d’un 4 étoiles à l’intérieur.

Puis, j’ai continuer mon mini périple en remontant vers Cook-Town, petit village typique des
années où la fièvre de l’or était encore d’actualité. Et c’est ici qu’avait accosté le capitaine du
même nom.
Par la suite, j’ai poursuivi mon aventure vers le sud, toujours le long de la côte est. D’ailleurs, dans
les auberges de jeunesse où je logeais, l’ambiance était parfois festive, et dans tous les cas, bonenfant.
Je pourrais t’en parler pendant des heures, et t’écrire des pages et des pages, mais pour résumer,
voici quelques-unes des activités que j’ai pratiqué.
Par la suite, j’ai appris le surf à Surfers Paradise, et poursuivi ma progression dans ce domaine à
Byron Bay, même si je suis encore loin d’être un surfeur émérite. Puis, j’ai participé à plusieurs
croisières, et réussi à vaincre définitivement ma peur du bateau. La plus marquante a été celle des
Whitsunday Islands.
Durant celle-ci, j’ai pratiqué le snorkeling, et découvert le sable le plus blanc que je n’ai jamais vu,
ainsi que les récifs coralliens en détail. Voilà une autre merveille qui mérite d’être protégée.

Puis, lors d’une excursion conseillée par une amie française rencontrée sur place, j’ai voyagé à
bord d’un bus 4X4 en mode rallye à Fraser Island, fait des bons de 3 mètres quand il accélérait
dans les dunes de sable, et découvert les coins les plus beaux de l’île.
Bien-entendu, j’ai également profité de moments de détente sur certaines des plus belles plages
du monde, comme celle de Noosa par exemple. Ah, pour l’anecdote, c’est à Airlie Beach que j’ai
acheté mon fameux chapeau. J’ai également découvert des paysages à couper le souffle aux 12
Apôtres, sur la Great Ocean Road (dont une est la couverture de mon livre).

Enfin, j’ai visité des musées, et d’autres places d’intérêt, dans les grandes villes telles que
Canberra, Sydney, et mon périple s’est achevé à Melbourne.
Et depuis lors ? Il y a eu d’autres voyages, des hauts spectaculaires, et aussi des bas vertigineux
dans ma vie. Car chaque aventure comporte son lot de péripéties, de chemins de traverses,
d’obstacles, mais la belle vue sur des paysages encore inexplorés, est à ce prix.
Cette aventure de 6 mois aura renforcé ma capacité à les vivre pleinement et à les gérer, tout en
restant pleinement authentique dans mes forces, comme dans mes vulnérabilités.
Et, de plus, comme le disait un illustre penseur, « C’est à toi de décider ce que tu veux faire des
pierres sur ton chemin. Tu peux construire un mur ou … un pont ». Voilà pourquoi je continuerai
quoi qu’il arrive, à faire de ma vie une aventure mémorable qui me ressemble.

—>>Retrouvez Eric Hebting
Son site Internet : https://www.erichebting.com/
Son Blog : https://blog.teltabiz.com/

Marie-Caroline Rey, Y.B Paris


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