Y.B Paris: du blog à la startup

Je réalise cet article afin de vous tenir informer des changements qu’il y aura bientôt pour Y.B Paris. Comme vous le savez Y.B Paris est un blog, un site éditeur au départ. Lorsque j’ai ajouté du commerce avec les programmes par exemple, je voulais en faire une plateforme mixte. Mais je me suis vite aperçu de l’étroitesse et de la limite du site au bout de 5 ans d’exploitation. Et à l’heure d’aujourd’hui je crois qu’il est temps d’effectuer enfin des changements. J’ai toujours été très transparente avec mon business et parfois plus que nécessaire. Donc bientôt vous découvrirez un autre site auquel vous accéderez via le blog Y.B Paris, et qui abritera ma marque de cosmétiques et de parfum, je ne sais pas encore si mes programmes vont migrer aussi sur cette nouvelle plateforme, je cherche actuellement la solution. L’idée serait de transformer la partie blog en site éditeur indépendant et de continuer ainsi l’affiliation, et faire du content commerce pour d’autres marques, c’est un peu différent de l’affiliation, et ce concept vient des USA. J’importe le concept de là-bas. Des sites comme -In style- ont recours au content commerce https://www.instyle.com/fashion/accessories/jennifer-lopez-8-other-reasons . Et comme je vends déjà sur la plateforme Y.B Paris, mes propres produits, c’est compliqué de vendre pour les autres, l’affiliation passe mais pas le content commerce.

Et pour effectuer tous ces changements je vais réaliser des investissements, monter une équipe de professionnels, avec pour la partie blog Y.B Paris, une team liée au développement du site éditeur ( un trafic manager pour l’acquisition du trafic, un rédacteur en chef etc.). En parallèle, je souhaite créer les programmes dans d’autres langues. Mais le point qui va relier toute cette transformation est l’influence, disons que je suis une influenceuse qui veut montrer la direction en créant une marque d’influenceuse. J’utilise ma communauté pour la faire adhérer à ma marque, mais le petit plus est que je vend aussi à cette communauté notamment les programmes. En effet des entrepreneuses américaines telles qu’Emily Weiss, avec sa marque Glossier se sont appuyées sur leur communauté pour la faire participer, c’est forcément inspirant. Mais de mon côté, étant persuadée que tous les entrepreneurs seront bientôt des influenceurs en puissance, au départ sur un segment de niche, j’évolue avec le secteur de l’influence en même temps, et quand ça sera le moment de vendre à l’international et au mondial je vais foncer. Il est essentiel de comprendre qu’une startup, n’est pas une entreprise, une startup cherche son business model, et tant qu’elle ne la pas trouvé, elle ne peut atteindre le statut d’entité statique que représente l’entreprise. C’est pourquoi je me qualifie aujourd’hui de startup globale. C’est pareil, dans l’amour les amis, je dévie un peu, mais en fait on n’est jamais complet tant que l’on n’a pas rencontrer sa flamme jumelle. Les startups liées à la spiritualité c’est mon truc. Telle ma vision: une vie sans compromis, on a tout à y gagner et on gagne tout, car la vie rêvée n’est pas que prospérité financière, elle est amour. Une vie accomplie c’est tout simplement ça, et il faut marcher dans le sens inverse des haineux, tracer sa route, aller vers son destin.

La vision que j’ai de mon business est de plus en plus clair, mais je n’arrive toujours pas à trouver le lien entre les influenceurs de niche et la marque de cosmétique et de parfum à venir, je n’explique pas comment je vais les inclure dans le process, pour en faire une startup innovante. C’est tout là l’enjeu, alors peut-être que je pourrai participer à l’élaboration de leur propre marque à terme, mais il faudrait qu’ils soient tentés par cette idée, et aussi qu’ils me rejoignent dans l’aventure. Cette sorte d’incubateur, ou plutôt la vision d’une entreprise qui fonctionnerait en circuit fermée, est un peu à l’image de la France qui se referme sur elle-même. Concevoir la marque d’autres influenceurs et leur vendre mes produits cosmétiques et de parfum, et ils pourraient aussi en faire parler, mais ce dernier élément n’a rien d’innovant, beaucoup de marques le font déjà en utilisant des clients ambassadeurs.

Pour la musique également, je trouverai facilement un public…Et à l’heure d’aujourd’hui si je suis sur de la micro-influence, un jour cela ne sera plus le cas. Et je n’ai jamais agi sur du présent mais plutôt sur de futurs ambitions. C’est comme ça que se créent les grandes entreprises de demain, en considérant plus la vision future qu’en se basant sur le présent. Je suis persévérante car j’imagine le futur, mais si je ne pensais qu’à ma situation actuelle je baisserai les bras face à la charge de travail en vision. C’est comme cela monsieur et mesdames que je construis un avenir: en rêvant puis en prenant des actions, en visualisant le monde de demain et en agissant…Telle est ma mission: jamais se contraindre, jamais se restreindre.

Marie-Caroline Rey, Y.B Paris


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